Péplum médiéval 1280
Théâtre

Péplum médiéval

Valérian Guillaume — Olivier Martin-Salvan

Après ce spectacle, vous ne porterez plus le même regard sur le Moyen Âge. De cette époque, nous avons une image cruelle et sombre. Au fil de lectures et de rencontres avec des médiévistes et historiens, Olivier Martin-Salvan a découvert tout le contraire. Un monde subtil, poétique, rempli d’humour.

Lieu
  • Le Liberté
  • Salle Albert Camus
Accessibilité
  • Spectateurs aveugles et malvoyants
    • Audiodescription — Ven. 24 nov.
  • Pour tous
    • dès 12 ans
    • Garde d'enfants — Ven. 24 nov.
  • Dates Durée estimée 2h
  • mercredi 22 novembre 2023 19:30
  • jeudi 23 novembre 2023 19:30
  • vendredi 24 novembre 2023 19:30
Tarifs
  • Plein tarif 30 €
  • Tarif adulte avec la carte Châteauvallon-Liberté 20 €
  • Tarif - 30 ans 15 €
  • Tarif - 18 ans 10 €
  • Tarif solidaire 5 €

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Informations pratiques

« Le temps est arrêté. Par une malédiction, le cycle du jour et de la Nuit est gelé et en ce pays-là personne ne sait fermer les yeux. L’action se déroule autour d’un château blanc comme un os. Toute une communauté insomniaque vit là recluse dans son ennui d’une vie sans sommeil. Au sein d’une langue qui s’invente quand elle se parle, les caractères de ce poème théâtral dressent et tissent une série d’enluminures vivantes. Dans l’espoir du retour de La Nuit, ils se livrent aux jeux, aux danses et aux contes qui leur restent. Ce conte enchâssé par des farces est une peinture de Pieter Brueghel l’Ancien qui, peu à peu, se transforme en celle de Jérôme Bosch. »

Le comédien et metteur en scène, récompensé en 2022 d’un Molière pour Les gros patinent bien, nous présente une fresque haute en couleur et foisonnante. Quinze interprètes, parmi lesquels sept comédiennes et comédiens en situation de handicap qui forment Catalyse, une troupe professionnelle au sein du Centre National pour la Création Adaptée – CNCA, donnent vie à ce monde merveilleux. En jouant, dansant, chantant, ils nous plongent dans des tableaux vivifiants où la farce est de mise.

Coproduction Châteauvallon-Liberté

Texte original Valérian Guillaume
Mise en scène Olivier Martin-Salvan
Avec Romane Buunk, Tristan Cantin, Manon Carpentier, Victoria Chéné, Fabien Coquil, Guillaume Drouadaine, Maëlia Gentil, Lise Hamayon, Mathilde Hennegrave, Rémy Laquittant, Emilio Le Tareau, Olivier Martin-Salvan, Christelle Podeur, Jean-Claude Pouliquen et Sylvain Robic
Scénographie et costumes Clédat & Petitpierre
Chorégraphie Ana Rita Teodoro
Composition vocale Miguel Henry
Création sonore Vivien Trelcat
Création lumière Mael Iger
Assistanat à la mise en scène Lorraine Kerlo-Aurégan
Collaboration artistique Alice Vannier
Assistanat, réalisation des costumes Anne Tesson et Jeanne-Laure Mulonnière
Traitement et spatialisation sonore Maxime Lance
Conseil technique scénographique Stéphane Lemarié
Conseil littéraire Mathias Sieffert
Conseil dramaturgique Baudouin Woehl
Recherche dramaturgique Mathilde Hennegrave
Régie générale et plateau Marie Bonnier en alternance avec Fabrice Guilbert
Régie lumière Sébastien Vergnaud en alternance avec Fabrice Guilbert
Régie plateau Marion Le Roy en alternance avec Solène Ferreol et Lucile Quinton
Régie son Maxime Lance en alternance avec Antoine Reibre et Mathieu Ferrasson 
Régie costumes Marine Chandellier en alternance avec Clémentine Page
Accompagnement éducatif de la Troupe Catalyse Erwanna Prigent et Julien Ronel
Direction de production et diffusion Colomba Ambroselli
Chargés de production et administration Nicolas Beck et Andrew Huart Flinton
Communication digitale Solène Marzin
Relations presse Agence Plan Bey

Production Tsen Productions
Production déléguée pour la troupe Catalyse Centre National pour la Création Adaptée – Morlaix / ESAT Les Genêts d’Or
Coproduction MC2: Grenoble scène nationale / Théâtre National Wallonie-Bruxelles – La Coop asbl et Shelter Prod / CENTQUATRE-PARIS / Le Manège Maubeuge scène nationale transfrontalière / Théâtre de Lorient CDN / Le Quartz scène nationale de Brest / Tandem scène nationale Arras-Douai / Scène nationale du Sud Aquitain / L’Arc scène nationale du Creusot / Maison de la Culture d’Amiens scène nationale / La Coursive scène nationale de La Rochelle / Maison de la Culture de Bourges scène nationale / Le Grand R scène nationale de La Roche-sur-Yon / La Comédie scène nationale de Clermont-Ferrand / Le Maillon Théâtre de Strasbourg scène européenne / L’Archipel scène nationale de Perpignan / Le Théâtre scène nationale de Saint-Nazaire / Lieu Unique scène nationale de Nantes / Le Grand T théâtre de Loire-Atlantique / Châteauvallon-Liberté scène nationale / L’Empreinte scène nationale Brive-Tulle
Tsen Productions – Olivier Martin-Salvan est conventionné par le Ministère de la Culture – DRAC de Bretagne.
Avec le soutien de la Fondation de France, de l’Olympiade Culturelle de Paris 2024, de l’ADAMI, de la Région Bretagne, des dispositifs d’insertion professionnelle de l’ENSATT, de l’ESAD, et de L’École de la Comédie de Saint-Étienne CDN / DIESE # Auvergne-Rhône-Alpes, de Taxshelter.be, ING et du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge
Accueil en résidence CENTQUATRE-PARIS, Centre National pour la Création Adaptée – Morlaix, Le Manège Maubeuge scène nationale transfrontalière, MC2: Grenoble scène nationale, Césaré Centre national de création musicale de Reims, La Chartreuse Centre national des écritures du spectacle, Théâtre des Quartiers d’Ivry CDN du Val-de-Marne, Le Grand R scène nationale de La Roche-sur-Yon
Construction du décor et confection des costumes Ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Remerciements à Patrick Boucheron, Pauline Guillemet, Pierre-Yves Le Pogam, Marie Bouhaïk-Gironès, Aurélien Bory, Camille Trouvé, Madeleine Louarn, Sébastien Chassagne, Sacha Ribeiro, David Rémy, Marwan Ajili, Matthieu Banvillet, Hélène Le Cam, Corentin Leconte et Mélanie Schaan
Olivier Martin-Salvan est artiste associé au CENTQUATRE-PARIS et membre du Phalanstère d’artistes du Centre National pour la Création Adaptée

Photo de couverture © Yvan Clédat
Photos du diaporama © Martin Argyroglo
Teaser © Corentin Leconte
Texte © Vanessa Asse

Depuis que j’ai commencé à m’intéresser au Moyen Âge, j’ai comme la sensation qu’on a occulté 1 000 ans d’Histoire. Face aux périodes glorieuses de l’Antiquité et de la Renaissance on a pu avoir une image erronée du Moyen Âge. Que ce soit à travers le cinéma ou la télévision, on a souvent l’image d’un monde marronnasse, malodorant et cruel où les hommes et les femmes ressemblent plus à des bêtes qu’à des êtres humains. Grâce à des médiévistes et historiens lus et rencontrés, je découvre au contraire un monde subtil, poétique, rempli d’humour et plein d’une puissance créatrice puisant sa source dans le Merveilleux. Les couleurs sont très présentes et très vives, ainsi que la nature, et ce qui m’intéresse le plus c’est l’absence de frontière entre le comique, le tragique et le spirituel. Rabelais est sans doute parmi les derniers grands auteurs à garder cette force de tresser ensemble ces trois entités. Je lis et entends qu’on appelait la fin du Moyen Âge : le siècle des excès ! Je m’intéresse davantage à la fin du Moyen Âge, une période dure, à cause notamment de la guerre de 100 ans, la grande peste et les famines mais dans cette époque tragique existe aussi un grand foisonnement artistique. Me voilà donc en face de ce qui me bouleversait chez Molière, Tabarin et Rabelais : les farces et leur esprit drolatique et saisissant, l’élan des grands spectacles comme dans les mystères qui pouvaient durer plusieurs jours, le fantastique et le réalisme enchâssés dans les chansons de geste… Une liberté et un mélange de style qui m’inspirent profondément !

Je décide donc de développer le spectacle en faisant appel à un auteur pour élaborer ensemble une structure globale et la création de dialogues en lien avec nos recherches dramaturgiques et nos expériences au plateau. J’ai choisi de faire appel à Valérian Guillaume, jeune auteur qui est à la recherche d’un langage non réaliste au théâtre, j’y retrouve la puissance de l’écriture de Valère Novarina, en cheminant plutôt vers la narration et une moindre complexité du langage, tout en questionnant une langue Monde. Ce qui m’intéresse ce sont les croisements d’écriture : que l’écriture contemporaine procède par entrelacs avec des textes anciens de formes diverses comme le rondeau, la farce, aussi bien que des textes non littéraires comme des extraits de traités sur la chasse ou de textes juridiques par exemple. J’apprécie le mélange des genres. Il était d’usage dans la tradition littéraire médiévale comme dans toute la glose juridique, religieuse ou philosophique de farcir les œuvres de commentaires, de notes, de digressions ou même d’ajouts divers. Nous voulons s’inspirer de cette « méthode » proprement médiévale et faire coexister joyeusement des genres textuels différents. […]

Avec l’invitation que je fais à la Troupe Catalyse (sept comédiens), nous serons nombreux sur le plateau, quinze acteurs ! Je dis souvent que les acteurs de Catalyse sont imbattables sur le Moyen Âge. C’est-à-dire, dans l’idée que je me fais de la culture médiévale, il y a quelque chose de très direct et de très intense dans leur manière de s’exprimer. Avec eux, les mises en abyme, enchâssements, digressions et intrigues ou théâtres simultanés m’apparaissent comme une évidence. Je rêve de grands tableaux collectifs et de foules tout le temps présente, des fresques, dans lesquelles on découvre en s’attardant, des miniatures, comme des évènements soudain plus intimes au cœur du nombre. L’idée c’est d’offrir un terrain de jeu aux actrices et aux acteurs, qu’ils puissent ensemble agir collectivement dans la scénographie et les costumes imaginés par Clédat & Petitpierre. Pour l’instant nous rêvons d’un espace modulable, une sorte de château dans lequel pourraient se déployer des scènes de cour, mais aussi de foire avec son cortège de jeux, de spectacles, de processions et le surgissement d’évènements plus mystérieux comme la danse macabre.

Je rêve donc d’une fresque qui s’inspire des XIVe et XVe siècles, « l’automne du Moyen Âge », comme le décrit l’historien hollandais Johan Huizinga. J’imagine les répétitions d’un mystère, le Fou à la cour qui humilie le roi dans une ambiance de plomb rompue par le rire de la souveraine, des tournois d’éloquences, une tentative de reconstitution d’une célèbre fresque vendéenne, des débats de spécialistes, la célèbre danse macabre du cimetière des Innocents ou encore la représentation d’allégories inspirées du Roman de la Rose de Guillaume de Lorris, chef d’œuvre de la littérature médiévale.
Olivier Martin-Salvan

Valérian Guillaume

Acteur, metteur en scène et auteur, Valérian Guillaume écrit des pièces qui ont pour point commun d’appréhender les phénomènes contemporains comme matière poétique. Depuis 2014, il dirige la compagnie Désirades au sein de laquelle il met en scène ses écrits. Lauréat en 2018 du programme doctoral SACRe (Sciences, Arts, Création, Recherche) proposé par le Conservatoire national supérieur d’art dramatique et Paris Sciences Lettres, sa recherche-création consiste à explorer et à analyser les potentialités des graphies en train de se faire sur la scène. En tant qu’interprète, il joue dans plusieurs spectacles sous la direction de Bernard Sobel, Jean Bellorini, Rachid Ouramdane, Mathilde Monnier et François Olislaeger. Récemment, il a collaboré à la dramaturgie du spectacle Les Oubliés de Julie Bertin et de Jade Herbulot à la Comédie-Française.

Par ailleurs, il contribue en tant qu’auteur et metteur en scène au spectacle Faut profiter de Zoé Lizot qui sera créé en février 2022 et sera l’auteur d’une pièce jeune public, Cash-Casse – une histoire de l’argent, pour le collectif de marionnettes Label Brut (création 2023 de Jonathan Heckel). Il écrit aussi pour la bande-dessinée (prix Jeunes Talents 2018 du Festival International d’Angoulême avec le dessinateur Thibault Le Page), le cinéma d’animation (avec les élèves de La Cambre) et pour la musique (paroles de chanson et écriture prochaine d’un livret d’opéra contemporain à La Chartreuse pour TOTEM(S) lors du Festival d’Avignon 2021).

Après trois créations Désirades (prix de la meilleure écriture théâtrale dans le cadre du festival étudiant Rideau Rouge organisé à Théâtre Ouvert à Paris) et Éclipses dans le cadre du festival Acte&Fac (Encouragements de la Commission nationale d’Aide à la création de textes dramatiques – Artcena CNT), il créé son premier spectacle, La Course, à Bonlieu – Scène Nationale d’Annecy en 2019.

Son premier roman, Nul si découvert, et son second, L’ombre des pins, ont été respectivement publiés en 2020 et 2022 aux éditions de L’Olivier. Sa nouvelle pièce Capharnaüm – poème théâtral a été créée au Nouveau Théâtre de Montreuil – CDN en avril 2022. Richard dans les étoiles, pièce pour 5 acteurs, également lauréate Artcena, et lauréate du prix des Célestins, sera créée en septembre 2023.

Olivier Martin-Salvan

Comédien et metteur en scène, Olivier Martin-Salvan s’est formé à l’école Claude Mathieu (2001 – 2004).

Il est artiste associé au Centquatre-Paris et membre du phalanstère d’artistes du Centre national pour la création adaptée de Morlaix. De 2014 à 2017, il est artiste associé au Quartz – Scène nationale de Brest. De 2018 à 2021, il est parrain de la promotion 30 de l’École de la Comédie de Saint-Étienne – Centre dramatique national.

Catalyseur d’équipes, Olivier Martin-Salvan conçoit des spectacles en collectif, tels que Ô Carmen, opéra clownesque (2008), avec le metteur en scène Nicolas Vial ; Religieuse à la fraise (2014), avec la danseuse-chorégraphe Kaori Ito ; Andromaque (2017), avec le metteur en scène Thomas Condemine ; et dernièrement, Péplum médiéval (2023).

Olivier Martin-Salvan tisse également d’étroites complicités avec de nombreux artistes metteurs en scène, notamment Valérian Guillaume pour Nul si découvert (2023),  Pierre Guillois pour Les gros patinent bien (2020-2021, Molière du théâtre public 2022) et Bigre, mélo burlesque (2014, Molière de la meilleure comédie en 2017) qu’Olivier a co-écrits, Clédat & Petitpierre pour le solo Panique ! (2019),Valère Novarina pour ses trois spectacles L’Acte inconnu (2007), Le Vrai Sang (2011), L’Atelier volant  (2012), ou encore Benjamin Lazar pour Pantagruel (2013) et Le Bourgeois Gentilhomme (2004). 

Enfin, il a également joué dans plusieurs spectacles, tels que Un violon sur le toit (2002), de Joseph Stein, mis en scène par Jean Bellorini, Roberto Zucco, de Bernard-Marie Koltès, mis en scène par Côme de Bellescize (2004), Orgueil, poursuite et décapitation, de Marion Aubert, mis en scène par Marion Guerrero (2010), Fumiers, mis en scène par Thomas Blanchard (2016), et récemment Nul si découvert, créé et mis en scène par Valérian Guillaume (2023).

Troupe Catalyse

Les interprètes de Catalyse sont Tristan Cantin, Manon Carpentier, Guillaume Drouadaine, Emilio Le Tareau, Christelle Podeur, Jean-Claude Pouliquen, et Sylvain Robic. Ils et elles forment la troupe permanente du Centre National pour la Création Adaptée – CNCA. D’horizons variés et de générations différentes, ils et elles composent ce collectif inédit. La permanence de ces interprètes rend l’ancrage du projet unique : la durée exceptionnelle de leur activité théâtrale, ininterrompue depuis 1994, produit au plateau une expérience singulière sans précédent.

Catalyse a ainsi participé à des œuvres mises en scène par Madeleine Louarn et Jean-François Auguste : Gulliver, le dernier voyage (2021) ; Opérette (2020) ; Le grand théâtre d’Oklahama (2018) ; Ludwig, un roi sur la lune (2016) mais aussi à des projets chorégraphiques de Bernardo Montet, dont Vignette(s), fruit de la collaboration avec les chorégraphes Volmir Cordeiro et Maguy Marin.

La vie artistique de cette troupe constitue un axe important du Centre National pour la Création Adaptée – CNCA. Elle poursuit le long chemin et l’histoire étonnante initiée par Madeleine Louarn, qui crée en 1984 une compagnie de théâtre amateure avec ce qui était alors nommé « l’Atelier » Catalyse au sein du centre d’aide par le travail Les Genêts d’or. Être porteur d’un handicap mental revient souvent à être considéré hors du champ social, culturel et artistique. Mais à force de persévérance, grâce à l’élargissement du cercle des soutiens et à l’opiniâtreté de ces interprètes d’exception, une démarche artistique s’est faite reconnaître, jusqu’à intégrer la programmation du Festival d’Avignon.

En 2021, le Centre National pour la Création Adaptée – CNCA s’installe officiellement dans l’ancienne Manufacture des Tabacs de Morlaix. La création d’un lieu pérenne de référence ouvre ainsi une nouvelle étape pour repérer, soutenir, voir et montrer des recherches artistiques réalisées par et avec des hommes et des femmes hors normes.

Le Phalanstère du CNCA, dont Olivier Martin-Salvan est membre depuis 2021, crée une communauté engagée auprès des comédiens et comédiennes de Catalyse. Pensé pour 4 ans, entre 2021 et 2024, il réunit les artistes Jean-François Auguste, Rodolphe Burger, Hélène Le Cam, Hélène Delprat, Madeleine Louarn, Olivier Martin-Salvan, Bernardo Montet avec le désir de créer pour et avec Catalyse des œuvres contemporaines, dans une grande diversité de formes mais aussi de proposer des déclinaisons d’œuvres contemporaines du répertoire français de l’histoire de l’art. C’est un accompagnement dans la durée, avec le désir de croiser les expériences, d’orienter les recherches vers plus d’humanité, de cultiver l’esprit pour s’écarter de la standardisation. Les artistes du Phalanstère éprouvent ainsi leurs propres rapports à la création à travers les questions et les champs ouverts par les interprètes en situation de handicap mental et psychique de Catalyse.

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